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Le traducteur technique, entre maîtrise linguistique et rigueur du vocabulaire

Qu'est-ce qu'un traducteur technique ?

Un traducteur technique, ou traducteur spécialisé, réalise des traductions qui nécessitent moins un excellent sens du rédactionnel que beaucoup de rigueur et de précision.

Le traducteur technique traduit dans un domaine précis. Il lui faut donc des connaissances spécifiques, ainsi qu’un vocabulaire spécialisé adapté.

Faut-il des connaissances pointues pour devenir traducteur technique ?

Il n’est pas obligatoire d’être un expert dans un domaine pour traduire dans celui-ci. Par exemple, il ne faut pas forcément être physicien pour traduire de la physique.

La traduction dépend du degré de technicité, mais aussi du public visé.

Traduire pour un lectorat d’experts et traduire pour le grand public sont deux choses qui nécessitent un degré de rigueur distinct.

 

Les principaux domaines d'un traducteur technique sont les suivants :

  • l’industrie (technologies, ingénierie…)
  • le juridique (lois, contrats…)
  • les domaines scientifiques / techniques (notices techniques, manuels…)
  • l’informatique (logiciels, sites web…)
  • le médical (études cliniques, notices de médicaments…)
  • Les domaines économiques / financiers (bilans, rapports…)

Comment devenir traducteur technique ?

Tout d’abord, pour se préparer à cette pratique, il est par exemple possible, après avoir suivi un master en traduction spécialisée, de se former dans un domaine afin d’assimiler le langage propre à celui-ci. Lorsque le traducteur a des problèmes de compréhension d’un terme ou d’un concept, il peut contacter un expert du domaine concerné.

Ensuite, pour ce qui est de la recherche terminologique, il est conseillé aux traducteurs d’effectuer de la veille documentaire active en collectant des documents sur différents sujets comme des journaux, des magazines spécialisés ou tout autre document pouvant permettre de mieux appréhender un sujet. Idéalement, ces documents doivent être dans les deux langues pour faciliter la tâche du traducteur. Cependant, les ressources classiques font également très bien l’affaire, comme les corpus, les glossaires personnels ou les dictionnaires.

Altica traduction technique

En France, aucun diplôme n’est requis pour devenir traducteur car ce n’est pas une profession réglementée. C’est pour cette raison qu’il est recommandé d’avoir un niveau d’études élevé pour justifier sa légitimité dans le milieu. On peut par exemple citer le master Traduction spécialisée multilingue (TSM) de l’Université Grenoble Alpes qui porte le label EMT « Master européen en traduction ». Ces formations permettent notamment la pratique de la traduction technique dans des domaines divers et variés.

traducteur technique ALTICA Grenoble

ALTICA Traductions :
une agence de traduction technique à Grenoble (Isère)

Conscients de l’importance du secteur industriel dans la région, nous avons naturellement fait de celui-ci notre cœur de métier. Nous savons que votre métier a ses propres caractéristiques et que vous utilisez un vocabulaire spécifique, c’est donc pour cela que nous nous assurons de vous fournir des prestations de qualité grâce à une terminologie adaptée à votre domaine d’activité et aux documents fournis. Ainsi, notre agence de traduction se compose de traducteurs experts dans leur domaine, fiables et sérieux. Toujours à votre écoute, nous faisons le pari de rendre la traduction technique accessible à tous. La culture et les langues ne doivent avoir aucune barrière pour notre agence de traduction technique à Grenoble.

Pour en savoir plus sur le métier de traducteur technique, vous pouvez également lire cet article.

1 réflexion sur “Le traducteur technique, entre maîtrise linguistique et rigueur du vocabulaire”

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